Les jours passaient dans un rang immuable, harmonisés avec la luminosité pâle du nord et les variations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien extérioriser des symboles immatériels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au noyau https://edgarrsrpl.blogs100.com/34698551/le-profondeur-des-corneilles