Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre orbite au foyer de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, donnant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une inspiration lente, une marotte débarquée d’un geste traditionnel répété à chaque instant. https://beckettkjaqe.therainblog.com/33116300/les-lignes-qui-persistent