Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les gens. Elle restait enfermée dans son fabrique, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, adoptant les formules d'autrefois avec suspicion. Les flacons contenant les brevets tristes étaient avec précaution étiquetés et rangés à l’écart, dans https://advoyance95273.pointblog.net/l-essence-du-silence-78121692