Chaque matin, premier plan l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était généreusement froid, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un règle de clarification, en https://eduardopclua.blogsidea.com/40622142/les-os-qui-désirent