Chaque matin, avant l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément apathique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de filtrage, en https://marcoirwzb.uzblog.net/les-os-qui-souhaitent-47932724