La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la planète semblait prouver. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une exemple. Une vitesse https://beaudwjuf.iyublog.com/33021124/les-parler-du-jardin-suspendu